Bagarres et signalements
Pour mémoire, toute publication sur internet (texte, vidéo...) engage son auteur au niveau pénal. En cas de non-respect de la loi ou de la publication de contenu illicite, il peut être poursuivi et condamné par la justice.
Ce qui change aujourd’hui avec le numérique, c’est que le premier réflexe des jeunes est de filmer leurs bagarres, puis de les poster sur les réseaux sociaux.
Le phénomène se mondialise. Dernièrement le président de la République Emmanuel Macron a interpellé les éditeurs (comme Facebook ou Youtube) pour qu'ils gérent ce genre de contenus sur leurs réseaux, tout comme notre voisine la Nouvelle-Zélande (suite aux vidéos postées pendant les attaques terroristes de Christchurch).
Les animateurs numériques du territoire lancent une pétition en ligne contre la haine sur Internet "Plus de mesures face à la haine sur les réseaux sociaux calédoniens".